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Quelle belle-mère êtes-vous ?

Son arrivée ragaillardit le papa, ce qui réjouit les enfants. Mais comment cela se passe-t-il pour les belles-mères ? Tout dépend du genre de belle-mère…

1. La belle-mère dans l’âme C’est justement parce qu’il avait des enfants qu’elle a trouvé son partenaire si attirant ! Du coup, elle a envie de jouer le rôle de mère pour les beaux-enfants. Elle va alors s’efforcer de réparer les dégâts occasionnés chez eux par la séparation. Ce genre de belle-mère a souvent des difficultés avec la mère biologique. Elle se compare à elle et trouve génial que ses beaux-enfants la considèrent quasiment comme leur mère. Et lorsqu’elle éprouve davantage d’amour pour ses propres enfants que pour ses beaux-enfants, elle peut même s’en sentir coupable.

2. La belle-mère biologique

Elle voit cette nouvelle maison comme un toit abritant deux familles : lui avec ses enfants et elle avec les siens. Cette scission est source de tensions et de frustrations. Elle ne joue aucun rôle comme belle-mère mais peut malgré tout attendre de son partenaire qu’il fasse figure de père pour ses rejetons. La présence des enfants du père met la relation sous pression. Les belles-mères biologiques s’enlisent très souvent, ne parvenant pas à aimer leurs beaux-enfants au point, parfois, de s’en sentir coupables.

3. La belle-mère repliée sur elle-même

Elle s’était imaginé les choses autrement et est profondément déçue. Son partenaire la soutient trop peu et punit rarement les comportements négatifs de ses enfants à son égard. En fait, elle n’aime pas ses beaux-enfants qui se montrent parfois hostiles à son égard. Cette belle-mère s’est émotionnellement repliée sur elle-même pour se protéger. Elle se sent impuissante et frustrée. Elle tente parfois d’améliorer les relations. Parfois pas.

4. La belle-mère soucieuse de la relation

Elle forme une bonne équipe avec son partenaire. Pour elle, leur relation est prioritaire. Le rôle de belle-mère ne l’intéresse pas, laissant les soins primaires et la responsabilité des beaux-enfants à son partenaire. Elle noue une relation amicale avec ceux-ci, se voyant plus volontiers comme une amie que comme une belle-mère. Ce type de belle-mère n’a pas beaucoup de problèmes, pour autant qu’elle accepte de partager l’attention de son partenaire avec les enfants de celui-ci.

5. La belle-mère « famille »

Elle ne se voit pas comme belle-mère, mais prend une part active dans l’éducation de ses beaux-enfants. Pour elle, c’est de la famille en plus. Elle estime que plus les enfants sont aimés par de nombreuses personnes, mieux c’est pour eux. Elle accepte aussi que la mère et le père biologiques aient le dernier mot quand cela concerne les enfants. Cette famille fonctionne bien, sauf si la mère biologique gâche tout et n’accepte pas le rôle de la belle-mère.

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