Nous bougeons plus qu’avant la crise du coronavirus

Les premiers résultats d’une étude de l’université d’Anvers sur les conséquences de la crise du coronavirus sur nos habitudes de mouvement montrent que 30 à 50% des personnes sondées bougent ou font davantage de sport qu’avant la période de confinement.

L’une des raisons principales est qu’elles ont plus de temps à disposition: 61,1% des sondés disent en effet avoir plus de temps qu’avant le lockdown.

L’utilisation d’application sur smartphone a sensiblement augmenté, de même que le recours à des cours en ligne par le biais des médias sociaux ou de YouTube.

Près de 91% des répondants n’avaient jamais suivi de cours de sport en ligne auparavant. Ce pourcentage est retombé à moins de 20% pendant le confinement.

L’étude de l’université d’Anvers va maintenant se pencher sur les effets à long terme de la crise du coronavirus sur la pratique sportive.

Contenu partenaire