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Belgique: une mort sur trois est causée par les maladies de l’appareil circulatoire

Le nombre de décès s’est stabilisé en 2013 par rapport à l’année précédente, après une nette augmentation cette année-là, indique jeudi la Direction générale Statistique du SPF Économie, sur base des derniers chiffres disponibles. Les maladies circulatoires et les cancers ont englobé à eux-seuls plus de la moitié des décès.

Le nombre de décès s’est stabilisé en 2013 par rapport à l’année précédente, après une nette augmentation cette année-là, indique jeudi la Direction générale Statistique du SPF Économie, sur base des derniers chiffres disponibles. Les maladies circulatoires et les cancers ont englobé à eux-seuls plus de la moitié des décès.

Au total, 109.295 décès (53.884 hommes et 55.411 femmes) ont été répertoriés en 2013, toutes causes confondues. Un chiffre qui reste relativement stable par rapport à 2012 (109.034). Les maladies de l’appareil circulatoire restent la première cause de décès, représentant près de 30% (28%) du nombre total enregistré, soit 31.308 personnes. Le cancer, deuxième cause principale, a mené à un peu plus d’un quart des décès (28.717). Les chiffres mettent par ailleurs en exergue une importance considérable des tumeurs malignes de l’appareil respiratoire. Viennent ensuite les tumeurs malignes colorectales, du sein, du pancréas, de la prostate, et de l’utérus, du col de l’utérus ou de l’ovaire. Concernant les causes non naturelles, le nombre de suicides a diminué, et passe sous la barre des 2.000 cas (1.893, ou 1,7% du nombre total de décès), note le SPF Economie. Quelque 1.361 hommes et 532 femmes se sont donné la mort en 2013. Les accidents de transport ont aussi à nouveau engendré moins de décès (756). Ils ont été la cause de 0,7% de l’ensemble de ceux notés dans le pays en 2013, contre encore 1,5% en 1998.

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