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Victoire incontestable.

La mode du dégagisme qui frappe les partis traditionnels dans plusieurs pays d’Europe ne touche pas Viktor Orban. Le Premier ministre hongrois est en route pour un troisième mandat après la large victoire (48,53 %, 133 des 199 sièges du Parlement) de son parti de droite radicale, le Fidesz, allié au Parti populaire chrétien-démocrate, aux élections législatives du 8 mars. Le Jobbik d’extrême droite, bien qu’en recul par rapport au scrutin de 2014 (19,63 %, 26 sièges, contre 20,22 %), est la première formation d’opposition. Ce qui situe le niveau de radicalité, fondée sur le rejet des migrants, de la population hongroise.

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