© istock

Un été moins meurtrier

L’été 2018 a connu deux longues périodes de fortes chaleurs. Habituellement, on s’attend alors à un excès de mortalité car sur base des années précédentes, on estime que des températures extrêmement élevées font augmenter le nombre de décès. Après ce dernier été, cela ne semble pas être le cas, d’après Sciensano, l’ancien Institut scientifique de Santé publique. Des analyses plus approfondies s’imposent pour déterminer ce qui provoque une surmortalité pendant ou après une vague de chaleur. Le stress, des concentrations d’ozone plus élevées et des températures nocturnes minimales élevées augmenteraient le risque, surtout chez les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires et de problèmes respiratoires chroniques.

Source: www.sciensano.be/nl

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire