Sauver les indés

Si les « gros » éditeurs devraient pouvoir compter sur leurs best-sellers pour sauver leur année, il en va tout autrement des indépendants et des petites structures. « Contrairement à « la grosse cavalerie » en BD qui ne devrait pas trop souffrir de la fermeture des librairies – tout le monde veut son cinquième tome de L’Arabe du futur, c’est compréhensible -, nous allons subir de plein fouet l’absence de conseils des libraires et de la possibilité de feuilleter les ouvrages. C’est un cri du coeur! », nous écrit l’attachée de presse d’une petite mais excellente maison française, navrée de voir ses albums mourir à l’accouchement.

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