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Répression de nuit

Inlassablement, tous les jours dans plusieurs villes, des Birmans manifestent pour protester contre le coup d’Etat militaire du 1er février et l’arrestation de leur leader Aung San Suu Kyi. Cette endurance irrite visiblement la junte au pouvoir. Le déploiement des militaires se renforce avec l’utilisation de blindés. Et les arrestations, au moins 420 personnes, se multiplient. Les militaires birmans accroissent la répression nocturne. L’absence de réactions aux interpellations est facilitée par les coupures d’Internet, fréquentes une fois la nuit tombée.

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