« Si on interfère avec votre cerveau, que deviennent la liberté de penser, le libre arbitre? Qui sera tenu responsable des actes d’une personne? Et quel pourrait être l’impact de ces technologies sur des cerveaux en développement, comme ceux des enfants? »

Hervé Chneiweiss, directeur du comité d’éthique de l’Inserm, l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale, au quotidien La Croix.

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