« Je voudrais vous dire aussi ma peur que la déshabituation des poignées de main et des embrassades n’entraîne que nos corps n’en aient plus le regret. »

« Le confinement a changé nos corps », s’inquiète dans Le Monde le philosophe Eric Fiat pour lequel « rien n’est plus défatigant qu’une joie, rien de plus fatigant qu’une angoisse. »

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