« Cet « au revoir » chorégraphié – un peu ridicule, à vrai dire – résume le « paradoxe Giscard »: une volonté de proximité contrariée par une irréductible distance. »

Dans la lettre de Philosophie magazine, le journaliste Cédric Enjalbert évoque la mise en scène du départ de la présidence française, en 1981, de Valéry Giscard d’Estaing, décédé le mercredi 2 décembre: il « se rêvait en Kennedy et fut moqué pour ses manières de monarque ».

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