Les perdants, c’est nous

J’ai lu l’intervention de M. Rouwez dans Le Vif/L’Express (Forum des lecteurs du 22 août). Il s’exprime à propos des incompétents qui ont fait perdre bien des économies aux petits épargnants du royaume. Il s’agit de Fortis, société privée dont le krach était dû au rachat d’une banque étrangère. Les responsables ont-ils été sanctionnés ? Hier, on nous annonçait le départ du CEO de Bpost, société publique cotée en Bourse, et dont le cours n’a cessé de baisser à la suite du rachat d’une société américaine dont on a découvert les nombreuses casseroles. Sanction pour le CEO ? Un parachute doré de 500 000 euros. Qui se souvient de la même aventure liée à la SNCB, société publique ? Son CEO s’était aventuré dans le rachat d’une société internationale de frêt. Il s’en est suivi la création des premières pertes qui n’ont cessé de croître. Sanction pour le CEO ? Une belle carrière politique…

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