Autant le dire d'emblée, la Lettre à mes juges de 45 pages que l'avocat Bruno Dayez adresse à ceux devant lesquels il a plaidé durant un quart de siècle se termine par un appel à la fronde. Avec la déférence malicieuse qu'on lui connaît, la star du barreau bruxellois veut secouer ce "métier de robe", généralement vécu "comme un apostolat", au sein d'un "édifice inébranlable", celui de la justice.
DÉBATS