© istock

Le secret des larmes

Le Vif

Tous ceux et celles qui ont souffert d’yeux secs à un moment ou l’autre de leur vie vous diront que les larmes artificielles ne remplaceront jamais les vraies. Mais un pas vient peut-être d’être franchi dans cette direction.

Une équipe australienne est en effet parvenue à comprendre la structure d’un acide gras qui, bien qu’il ne représente que 5 % de sa composition, joue un rôle déterminant dans la transparence du liquide lacrymal. C’est en effet lui qui permet à ses composantes aqueuses et lipidiques de rester mélangées et donc d’éviter que la vision ne se trouble. La prochaine étape sera de trouver le moyen de fabriquer une substance similaire qui puisse être ajoutée aux larmes artificielles afin d’émuler le mieux possible le liquide lacrymal.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire