Justice en manque

Que les avocats se plaignent du manque de cadres à la justice est audible. Que ces mêmes plaignants trouvent normal de multiplier les appels, voire les procédures de cassation, de provoquer des remises, de récuser des juges est tout aussi évident ! Le citoyen dupé aimerait que les parties se comprennent davantage et que la justice classe comme  » baratin  » les complications volontaires que l’avocature invoque trop aisément. En bref, un appel raté, jugé en l’absence d’un plaignant valide, devrait se payer comptant. Un examen du procès Assubel/Allianz, vieux de plus d’un quart de siècle à Bruxelles, justifie ce constat.

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