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Chaleur collective

Tout autant que la question de l’écologie, la thématique de la migration s’est invitée au coeur de la création en 2018. Le temps fort ? Sans conteste, l’oeuvre que l’artiste cubaine Tania Bruguera, qui s’est emparée de l’immense Turbine Hall de la Tate Modern à la faveur d’un revêtement thermochromique faisant apparaître le visage d’un réfugié syrien. Pour que le visage apparaisse, il faut que plusieurs centaines de visiteurs s’allongent au même moment. Lors de notre passage en octobre dernier, le sol est resté désespérément muet.

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