À quand un  » bonheur européen brut  » ?

En s’attaquant aux causes plutôt qu’aux effets, un autre monde est possible. Il est donc impératif de limiter les pouvoirs et les avoirs démesurés pour lutter contre les inégalités croissantes, les scandales à répétition, les dégradations environnementales et climatiques qui hypothèquent dangereusement l’avenir de notre planète. En adoptant cela avant que les populismes ne l’emportent, l’Europe, riche de son passé social et culturel, peut encore montrer et démontrer au reste du monde qu’autre chose est possible. Et pourquoi pas un indice  » BEB  » (bonheur européen brut) rayonnant et contagieux au-delà des frontières ? L’institution européenne en a-t-elle la volonté ? A défaut, elle perdra définitivement ce qui lui reste de crédibilité et notre monde continuera de courir inexorablement à sa perte.

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