Jean-Luc Dehaene illustré par Nicolas Vadot. © Nicolas Vadot

Les 190 ans de la Belgique en 50 mots: Zean-Luc

Comment la Belgique en est-elle arrivée à ce qu’elle est aujourd’hui ? Qui a fait quoi, quand, où et comment pour nous y mener ? En voici le récit. Sous forme de lexique. De A à Z. Et en toute décontraction. Décomplexé, au fond.

ZEAN-LUC

Il y avait, durant les années 1980, « Zean-Marie ». Il y a donc eu, la décennie suivante, « Zean-Luc », l’un étant à l’Etat belge ce que l’autre fut au foot national : un moteur de sa métamorphose. Dehaene, chef cab ou ministre de Wilfried Martens (durant les années Pfaff), puis Premier ministre (1992-1999), c’est Monsieur Réformes institutionnelles. Qui a eu à gérer plusieurs autres épisodes ayant transformé le pays : la mort de Baudouin, le dossier Agusta, l’entrée de la Belgique dans l’euro, l’affaire Dutroux, le scandale de la dioxine… En accomplissant des miracles, en se trouant ou en roulant l’adversaire. Mais toujours convaincu que, humf, ze best, c’était lui.

> Négociations fédérales : comment Jean-Luc Dehaene s’y prendrait-il ?

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