Tant d’amours et tant de larmes

L’émotion face à la mort que nous propose Laurent Busine (Mac’s) est profonde et, pour tout dire, mélancolique. En cause, d’abord, la qualité et le choix des oeuvres. On découvre ainsi comme jamais les célèbres Pleurants de Dijon (XVe siècle). Ensuite, les liens entre les £uvres. Giacometti-Sluter, par exemple, ou encore face aux 101 portraits d’une vie (du bébé au centenaire) signés Hans Peter Feldmann, de petites boîtes à souvenirs dont l’ultime n’est autre qu’un tombeau du XVe siècle.

Hôpital Saint-Jean, jusqu’au 18 août.

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