Les cinq sites touristiques les plus menacés du monde (en images)

En mars dernier, les responsables du site ont annoncé qu’ils fermaient son accès aux touristes suite à la découverte de la dégradation de la flore locale. D’après les experts, 77% du corail de la baie est en danger, notamment à cause des bateaux. Dès la réouverture de la baie, les autorités prévoient de limiter les visites à 2 000 personnes par jour.

Cette destination, célèbre pour ses chemins et sentiers, reçoit la visite de plus de deux millions de touristes par an. Les autorités ont déjà essayé de limiter leur venue, sans réel succès. Dernièrement, les Italiens se sont tournés vers la technologie. Grâce à une application, on peut voir le nombre de touristes présents dans le parc. Un voyant rouge s’affiche lorsqu’il y a trop de monde, une manière de décourager la venue de davantage de personnes.

La citadelle inca est l’une des destinations favorites de nombreux voyageurs. Et pourtant, avec les campements clandestins et la destruction des chemins, la menace est bien réelle. L’année dernière, les autorités ont mis en place un nouveau système pour contrôler l’afflux touristique : l’achat de tickets de visites programmées soit en matinée, soit en soirée. Désormais, chacun a un numéro et doit faire la file pour accéder au site.

L’île de jeju est très en vogue ces dernières années, à tel point que les sites volcaniques en souffrent. Annuellement, l’île compte aux environs de 15 millions de touristes, notamment grâce aux deux aéroports qui s’y trouvent. Et pourtant, loin de s’en préoccuper, le gouvernement a récemment annoncé la décision de bâtir un nouvel aéroport dans le sud de Jeju, qui risquerait de tripler le nombre de touristes.

Depuis 2016, cette rivière pourpre jonchée de trous est de plus en plus visitée par les touristes. Un afflux qui pourrait nuire à son écosystème délicat. Les autorités ont donc créé une liste de règles à respecter lors des visites : interdiction d’amener des bouteilles en plastique, des cigarettes, de la crème solaire ou des produits pour éloigner les insectes, interdiction de se baigner à certains endroits et enfin, interdiction de nourrir les poissons. En décembre dernier, l’accès a finalement été interdit afin de préserver la nature.