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Tour d’Europe de la fessée

Le Vif

27 des 47 pays membres du Conseil de l’Europe ont adopté une législation interdisant en toutes circonstances d’infliger des châtiments corporels aux enfants. Certains pays, comme la Belgique et la France, tiennent à leur « droit de correction » dans le cadre familial.

Actuellement 27 des 47 pays membres du Conseil de l’Europe ont adopté une législation interdisant en toutes circonstances d’infliger des châtiments corporels aux enfants, mais certains pays, comme la France, tiennent à leur « droit de correction » dans le cadre familial.

La Suède, chantre du modèle d’éducation de la « parentalité positive », excluant la moindre punition physique, a été le premier pays à légiférer de la sorte au niveau européen, et même mondial, dès 1979.

En revanche, d’autres pays européens comme la France interdisent les punitions physiques à l’école ou dans les établissements pénitentiaires, mais n’ont pas encore décrété une interdiction générale.

La France fait partie des pays les plus rétifs à une modification de leur législation sur le sujet, aux côtés de la Belgique, du Royaume-Uni, de l’Irlande et de la Russie.

Dans le reste du monde, 17 Etats ont interdit tous les châtiments corporels envers les enfants à l’heure actuelle, notamment en Amérique latine, en Amérique centrale et en Afrique.

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