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Theo Francken, la religion climatique et le communisme

Olivier Mouton
Olivier Mouton Journaliste

Or donc, l’ancien secrétaire d’Etat Theo Francken (photo) a bien réussi ses élections fédérales, empochant 122 738 voix de préférence et laissant loin derrière lui l’indépendant-Belang-Schild & Vrienden Dries Van Langenhove.

En route vers le confédéralisme, clame-t-il depuis, l’oeil rivé vers cette Wallonie toute à gauche tentée par l’alliance PS-Ecolo-PTB. Le flux de ses tweets a repris, sarcastique comme jamais. Ainsi dénonce-t-il le doctorat honoris causa décerné par l’université de Bergen à Greta Thunberg, la jeune militante pour le climat, en dénonçant pêle-mêle la  » religion climatique « , son absence de diplôme et son absence de l’école durant un an pour voyager ou encore – bien tiens… – le trop grand nombre d’universités.

Aux accusations prononcées par un journaliste indépendant à l’égard du PTB, qui contrôlerait notamment le salaire de ses militants, il couple  » communisme, quoi ! « . Et il relaie une interview à la presse flamande, affirmant :  » Nous ne renoncerons pas d’un millimètre à notre nationalisme inclusif.  » Cela s’appelle une posture de négociation… permanente.

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