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Moins de dérogations pour la ceinture de sécurité ?

Le Vif

Grossesse, obésité, pacemakers, affections psychologiques ou cutanées, difficultés respiratoires, malformations, taille, etc., autant de situations pour lesquelles le port de la ceinture de sécurité peut être adapté.

Ainsi, chaque année, plus de mille personnes reçoivent du SPF Mobilité et Transports une dérogation pour  » contre-indications médicales graves  » attestées par un médecin. En comparaison, les demandes de dérogation ne seraient que de 500 par an aux Pays-Bas…

Le député Emmanuel Burton (MR) souhaite, lui, qu’une instance centrale se substitue au médecin traitant pour décider de la pertinence de la demande. Ce qui n’est pas du tout l’intention du ministre de la Mobilité, François Bellot (MR), qui invoque le respect du secret médical et une tendance à la baisse du nombre de dérogations : 1 199 en 2017 contre 1 685 quatre ans plus tôt.

M. La.

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