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Les critères socio-économiques font varier fortement l’espérance de vie

L’aggravation de la différence d’espérance de vie entre les citoyens les plus favorisés et les plus défavorisés atteint des proportions préoccupantes, selon une étude menée de concert par l’UCL et la VUB, révèle Le Soir vendredi.

Une personne disposant d’un emploi, de bons revenus et propriétaire de son logement peut ainsi espérer vivre 14 ans de plus qu’une personne précarisée.

Disposer ou non d’un emploi crée ainsi une plus grande différence d’espérance de vie que celle qui sépare un hyper-qualifié d’un nouveau qualifié, ont constaté les chercheurs.

Autre constat inquiétant, l’espérance de vie progresse actuellement plus fortement pour les nantis que pour les défavorisés, dont la progression semble ralentie.

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