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Le parquet confirme la thèse criminelle dans le décès de Béatrice Berlaimont

Le parquet d’Arlon a confirmé mercredi matin, lors d’une conférence de presse, la thèse criminelle à la suite de la découverte du corps sans vie, lundi après-midi, de Béatrice Berlaimont.

Les poignets de la victime étaient entravés et une cordelette se trouvait autour de son cou, a par ailleurs précisé la magistrate de presse Sarah Pollet.

Selon le parquet, il est trop tôt pour affirmer que le corps de la jeune fille a été déplacé ou qu’il se trouvait déjà sur les lieux de sa découverte, dans les bois de Sesselich (Arlon), lorsque les environs ont été fouillés, la semaine dernière. On ignore toujours l’origine du décès. « L’autopsie effectuée mardi n’a pas encore permis de déterminer la cause de la mort », a précisé Sarah Pollet. Le parquet n’a pas non plus souhaité se prononcer sur l’éventuel portrait-robot d’un rôdeur qui aurait été établi à usage interne, selon les journaux du groupe Sudpresse.

Mme Pollet a ajouté qu’aucune diffusion d’un quelconque portrait-robot n’interviendra dans les prochaines heures. Enfin, la magistrate de presse a demandé aux médias de respecter l’enquête. A ce titre, il n’y aura plus aucune communication du parquet dans les jours à venir étant donné qu’il s’agit d’une enquête criminelle.

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