Vidéo | Belgique

La vice-présidente de la N-VA reconnaît que le confédéralisme pourrait être mis de côté si la Suédoise était relancée

Un fait de campagne électorale important s’est déroulé à midi dans C’est pas tous les jours dimanche. L’émission a organisé un débat unique en son genre durant cette campagne: une opposition entre partis francophones, mais aussi flamands. Durant ce débat, la vice-présidente de la N-VA a lâché une information de poids: si la Suédoise pouvait à nouveau être formée pour la prochaine législature, son parti accepterait de mettre de côté le confédéralisme, comme il l’a déjà fait durant le premier gouvernement de Charles Michel. Pour rappel, il s’agissait d’une coalition entre le MR (libéraux francophones), la N-VA (nationalistes flamands), le CD&V (parti démocrate-chrétien flamand) et l’Open VLD (libéraux flamands).

Un fait de campagne électorale important s’est déroulé à midi dans C’est pas tous les jours dimanche. L’émission a organisé un débat unique en son genre durant cette campagne: une opposition entre partis francophones, mais aussi flamands. Durant ce débat, la vice-présidente de la N-VA a lâché une information de poids: si la Suédoise pouvait à nouveau être formée pour la prochaine législature, son parti accepterait de mettre de côté le confédéralisme, comme il l’a déjà fait durant le premier gouvernement de Charles Michel. Pour rappel, il s’agissait d’une coalition entre le MR (libéraux francophones), la N-VA (nationalistes flamands), le CD&V (parti démocrate-chrétien flamand) et l’Open VLD (libéraux flamands).

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