© Nicolas Vadot

Je déradicalise, tu déradicalises

Notre couverture sur le Business de l’antiradicalisme a, semble-t-il, tapé dans le mille, décrivant l’efflorescence soudaine d’experts en radicalisme, le mélange des genres entre politique et consultance rémunérée, les rivalités politiques et académiques…

Au risque de faire oublier le travail de fond de la recherche belge et internationale. Ainsi, à l’UCL, la Chaire de droit des religions créée en 2007 (5 à 10 chercheurs : http://www.uclouvain.be/chaire-droit-religions.html), l’Observatoire juridique du fait religieux en Belgique (http://belgianlawreligion.unblog.fr/) et l’Institut de recherche Religions, Spiritualités, Cultures, Sociétés (120 chercheurs : http://www.uclouvain.be/rscs.html) mènent en permanence des recherches sur la radicalité religieuse. Quant au Centre de psychologie de la religion, il a mené, depuis 2002, des recherches subventionnées sur les sectes (250 000 euros en 2002-2005) et sur le radicalisme religieux (900 000 euros 2008-2013 : http://www.uclouvain.be/en-fundamentalism.html), cette dernière « action de recherche concertée » ayant été financée par l’UCL et la Fédération Wallonie-Bruxelles. Nul doute que d’autres universités francophones pourraient compléter ce cadastre plutôt flatteur.

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