Partie pour devenir avocate, inspirée par les débats captivants de la Commission Dutroux, Ludivine Ponciau a une révélation à mi-parcours pour le métier de journaliste. Diplômée de l’UCLouvain, elle opte pour le journalisme de proximité et signe ses premiers papiers « judiciaires » (parce qu’on ne se refait pas, ou pas tout à fait). En presse locale, elle apprend le travail de terrain, l’art de la débrouille et la polyvalence. Après une première expérience en presse hebdomadaire, chez Moustique, elle intègre en 2013 la rédaction du Soir et y passe sept années aussi instructives que palpitantes. Tout en ne perdant pas de vue le judiciaire, elle développe de nouveaux centres d’intérêt et écrit sur tout ce qui pique sa curiosité. Le phénomène d’embrigadement et les premières vagues de départs vers la Syrie l’incitent à s’intéresser de plus près au radicalisme violent. Les années suivantes, elle couvre et analyse les différents attentats commis en Europe. Fin 2019, elle met le judiciaire entre parenthèses pour se plonger dans les dossiers « santé ». Ce qui, très vite, se résume en un mot : Covid. Changement de cap, début 2021 : elle décide de diversifier ses collaborations, écrit sur tous les sujets d’actu et pour plusieurs titres, dont Le Vif. En avril 2022, elle intègre avec joie la rédaction du magazine. Elle couvre actuellement les sujets liés à la santé, au judiciaire, aux phénomènes sociétaux, aux réseaux sociaux, à la famille et à l'éducation.
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