» C’est une malédiction dans les Caraïbes : même un marxiste-léniniste peut y devenir dictateur.  »

Le chanteur français Bernard Lavilliers, dans une interview au Journal du dimanche, se désole de la dérive autoritaire du président nicaraguayen Daniel Ortega, qu’il avait rencontré, et auquel il avait consacré la chanson Nicaragua en 1988.

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