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Un premier ministre wallon : quoi de pire ?

Elio Di Rupo avait déjà beaucoup concédé à la Flandre pour ne pas donner de  » grain à moudre  » à la N-VA et… pour espérer rempiler pour un deuxième mandat. Raté ! Charles Michel poursuit dans la même voie. Recul de l’âge de la pension : l’espérance de vie est plus grande en Flandre, le besoin en travailleurs aussi. Dégressivité des allocations de chômage : il y a beaucoup plus de chômage structurel en Wallonie. Investissement dans l’éolien offshore : pour la Flandre, dès maintenant, et après le confédéralisme. Privatisation de Belfius : indemnisation des actionnaires d’Arco, bras financier du mouvement syndical chrétien flamand (surtout) aux dépens du contribuable belge. Politique migratoire… à la flamande. Investissement dans les nouvelles technologies nucléaires : à Mol. Reste l’achat des avions, où la N-VA attend son heure. Les trois partis flamands ruent dans les brancards… et obtiennent ce qu’ils veulent.

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