Relire Eco

Dans un petit opus, Umberto Eco s’attachait à dresser les symptômes de ce qu’il appelait Ur-fascisme, le fascisme tel qu’en lui-même. Son testament politique, peut-être ? Relire cet opus est à la fois salutaire et… sanitaire. Il s’achève par ces mots de Roosevelt en 1938 :  » J’ose dire que si la démocratie américaine cessait de progresser comme une force vive, cherchant jour et nuit, par des moyens pacifiques, à améliorer la condition de nos concitoyens, la force du fascisme s’accroîtra dans notre pays.  » Quand vous publiez aussi cette interview de Géraldine Schwarz ( Le Vif/L’Express du 11 janvier) qui dénonce le amnésies contemporaines, vous devez aussi inviter à relire Eco : il y va de la santé de nos démocraties ! […]

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