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L’affaire Benalla s’élargit

Entendu le 31 juillet par la commission d’enquête du Sénat français, le délégué général de La République en marche (LRM), Christophe Castaner (photo), y a condamné les violences du 1er mai, à Paris, auxquelles se sont livrés Alexandre Benalla et Vincent Crase, tous deux mis en examen. Il a annoncé qu’une procédure de licenciement était engagée à l’encontre de Vincent Crase, salarié de LRM, gendarme réserviste, proche de Benalla (responsable, lui, de l’organisation des déplacements officiels et privés d’Emmanuel Macron) et s’occupant de la sécurité au sein du parti présidentiel. Le 1er mai, il était au côté de Benalla, en tant qu’observateur, et a participé à l’intervention musclée contre des manifestants. Le 30 juillet, la justice française annonçait l’ouverture d’une deuxième enquête, pour d’autres violences commises, quelques heures avant les heurts, dans un parc parisien où se trouvaient Benalla et Crase.

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