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à ma plume défendante

Il est assez facile pour moi d’intervenir dans la sélection  » beaux livres « , puisque, coup de chance, il se fait que je suis moi-même l’auteur du plus beau livre de cette fin d’année. Mes chroniques les plus brillantes, celles qui décrivent au mieux leur époque mais avec un humour fin et ravageur ont été compilées dans L’Echappé belge (éd. Kero). A ma plume défendante, je suis sans doute le fils que n’ont pu avoir Balzac et Molière.

En revanche, si je peux vous déconseiller un ouvrage, c’est sans hésiter Desproges par Desproges (éd. du Courroux). La fille de cet homme, justement oublié aujourd’hui, a cru bon de compiler divers documents qui ne manquent pas de prouver combien sa prose a mal vieilli et combien l’homme était peu recommandable !

PS : il ne faut pas exclure que du second degré se soit caché dans cette partie.

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