L’union qui sera célébrée à Monaco ces vendredi (mariage civil) et samedi (cérémonie religieuse) entre Albert II et Charlène Wittstock a-t-elle connu une crise qui a failli lui être fatale ?
En début de semaine, lexpress.fr, le site de l’hebdomadaire L’Express, révélait que l’ancienne championne du monde de natation avait voulu interrompre les préparatifs du mariage et avait tenté de s’enfuir vers son pays natal, l’Afrique du Sud. La future princesse aurait été interceptée in extremis à l’aéroport de Nice à la demande des autorités monégasques.
En cause, selon lexpress.fr, de nouvelles révélations parvenues à Charlène Wittstock sur les frasques de la vie privée d’Albert II. A 53 ans, le prince, nul ne l’ignore, a pas mal bourlingué au cours de sa vie de « jeune homme ». Il a ainsi reconnu deux enfants, nés le premier en 1992 d’une aventure avec une serveuse de bar californienne, le second en 2003 d’une brève idylle avec une hôtesse de l’air togolaise.
L’avocat d’Albert II a rapidement démenti l’information qui circulait depuis quelques jours dans la Principauté, parlant de « délire » et promettant des poursuites en justice. Il n’empêche, les festivités du mariage princier, 55 ans après l’union entre Rainier et Grace Kelly, seront scrutées avec une attention accrue. Et il n’est pas sûr que l’événement qui devait aussi redorer le blason de la Principauté remplira cet objectif.
Levif.be
