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La Belgique s’engage au Mali

L’Union européenne a annoncé mardi la reprise de son aide publique au Mali, gelée après le coup d’Etat, et qui pourrait atteindre 250 millions d’euros. Le ministre belge de la Coopération Jean-Pascal Labille a plaidé, pour sa part, en faveur de la reprise de la coopération au développement au Mali et ce, « de manière la plus coordonnée possible au niveau européen ».

« L’adoption rapide par les autorités maliennes de la feuille de route pour restaurer la démocratie et la stabilité a ouvert la voie à la levée des mesures prises après le coup d’Etat de mars 2012 et à la reprise progressive de l’aide au développement afin de répondre aux besoins urgents du peuple malien », a estimé dans un communiqué le commissaire européen chargé du Développement, Andris Piebalgs.

Les pays européens avaient lié la reprise progressive de leur aide publique au Mali à la concrétisation de la « feuille de route » pour le retour à la stabilité politique récemment adoptée par le Parlement malien.

L’UE a rappelé qu’elle envisageait de débloquer jusqu’à 250 millions d’euros.

La décision a été annoncée par M. Piebalgs au cours d’une réunion dite informelle des ministres européens chargés du Développement à Dublin, la capitale de l’Irlande, qui assure la présidence semestrielle de l’UE.

Le ministre belge de la Coopération Jean-Pascal Labille a plaidé, durant cette réunion, en faveur de la reprise de la coopération au développement au Mali et ce, « de manière la plus coordonnée possible au niveau européen ». Cité dans un communiqué, il a annoncé que « partout où la situation sécuritaire sera favorable, la coopération bilatérale belge sera relancée immédiatement ».

Outre l’aide à la restauration de la démocratie et de la paix, l’UE fera porter ses efforts sur la sécurité alimentaire, l’eau et les conditions sanitaires, de même que sur la relance de l’économie.

Le président malien par intérim, Dioncounda Traoré, s’est engagé à organiser des élections d’ici au 31 juillet.

La France est intervenue militairement au Mali le 11 janvier face à l’avancée vers Bamako des insurgés islamistes qui occupaient le Nord depuis la mi-2012. Depuis quelques jours, les islamistes ont montré qu’ils n’avaient pas tous fui et ont prouvé leur capacité de résistance à Gao.

« L’adoption rapide par les autorités maliennes de la feuille de route pour restaurer la démocratie et la stabilité a ouvert la voie à la levée des mesures prises après le coup d’Etat de mars 2012 et à la reprise progressive de l’aide au développement afin de répondre aux besoins urgents du peuple malien », a estimé dans un communiqué le commissaire européen chargé du Développement, Andris Piebalgs.

Les pays européens avaient lié la reprise progressive de leur aide publique au Mali à la concrétisation de la « feuille de route » pour le retour à la stabilité politique récemment adoptée par le Parlement malien.

L’UE a rappelé qu’elle envisageait de débloquer jusqu’à 250 millions d’euros.

La décision a été annoncée par M. Piebalgs au cours d’une réunion dite informelle des ministres européens chargés du Développement à Dublin, la capitale de l’Irlande, qui assure la présidence semestrielle de l’UE.

Le ministre belge de la Coopération Jean-Pascal Labille a plaidé, durant cette réunion, en faveur de la reprise de la coopération au développement au Mali et ce, « de manière la plus coordonnée possible au niveau européen ». Cité dans un communiqué, il a annoncé que « partout où la situation sécuritaire sera favorable, la coopération bilatérale belge sera relancée immédiatement ».

Outre l’aide à la restauration de la démocratie et de la paix, l’UE fera porter ses efforts sur la sécurité alimentaire, l’eau et les conditions sanitaires, de même que sur la relance de l’économie.

Le président malien par intérim, Dioncounda Traoré, s’est engagé à organiser des élections d’ici au 31 juillet.

La France est intervenue militairement au Mali le 11 janvier face à l’avancée vers Bamako des insurgés islamistes qui occupaient le Nord depuis la mi-2012. Depuis quelques jours, les islamistes ont montré qu’ils n’avaient pas tous fui et ont prouvé leur capacité de résistance à Gao.

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