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War Heritage Institute : le faux départ

Olivier Rogeau
Olivier Rogeau Journaliste au Vif

Le War Heritage Institute (WHI) a largué les amarres le 8 mai dernier, mais n’a toujours pas hissé les voiles…

Converti par le gouvernement fédéral en organisme d’intérêt public de type B, l’ex-Musée de l’armée n’a plus pour autorité directe le ministre de tutelle (celui de la Défense, en l’occurrence Steven Vandeput, N-VA) mais un conseil d’administration… qui n’existe pas encore. Du coup, Michel Jaupart (photo), le civil étiqueté MR nommé ad interim directeur général du WHI, gère l’organisme et prend des décisions sans en référer à une autorité responsable.  »

On pourrait même lui reprocher un jour d’avoir dépensé de l’argent dans la plus totale illégalité « , estime un spécialiste du dossier. Par ailleurs, il nous revient que le Mémorial national du fort de Breendonk, l’un des sites intégrés dans le WHI, continue en fait de fonctionner de manière autonome, avec son ancienne structure. Une fusion de papier ?

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