© Frédéric Pauwels/Huma

Tous bilingues ? Ce n’est pas gagné

Dominique Watrin est un humoriste binchois. Chroniqueur à la RTBF, il vient de signer un livre drôle, qui jette un regard autobiographique (et potache) sur l’apprentissage du néerlandais en Wallonie.

Retrouvez l’article complet de Valérie Colin dans le Vif/L’Express de cette semaine.

Mijn vader is groot, soutitré Comment je suis devenu un con qui ne parle pas le néerlandais (Cactus Inébranlable Editions), décrit par le menu les treize années passées à tenter de faire de l’auteur un bon bilingue. Raté. Il n’a même pas réussi à devenir un… mauvais bilingue. « Ma connaissance du néerlandais, regrette Watrin, n’est que passive. Mais alors très passive, super-passive, méga-passive. Plus passive que ça, c’est simple, c’est aveugle, sourd et muet… »

Pour vérifier si la matière est mieux enseignée aujourd’hui que jadis, il a accepté une plongée dans son adolescence, en reprenant une heure de cours sur les bancs d’école. Direction le Collège Notre-Dame-de-Bonne-Espérance (le bien nommé), à Vellereille-les-Brayeux (Estinnes). En guise de mise en appétit, la vidéo y a été tournée, sur le temps de midi, au milieu du grand reféctoire.

Valérie Colin

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