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Quand le Moniteur belge manque de correction(s)

Pierre Havaux
Pierre Havaux Journaliste au Vif

Une imprécision, une formule malheureuse, un mot mal orthographié, un accent circonflexe resté dans le porte-plume ou le clavier, et c’est une disposition légale ou réglementaire qui devient fâcheusement fautive.

La qualité des textes de lois laisse de plus en plus à désirer mais les services du Moniteur belge commis à leur publication refusent de porter le chapeau. Chacun son job : l’auteur du texte serait bien avisé de revérifier consciencieusement l’épreuve qu’il fournit au journal officiel.

Car, désolé, la maison ne fait plus dans la correction :  » Etant donné que le Moniteur belge même ne dispose plus d’une section chargée de relire l’ensemble des textes en profondeur, le contrôle y est encore uniquement rudimentaire et se limite principalement à des vérifications de mise en page « , précise le ministre de la Justice Koen Geens (CD&V).

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