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Malaise dans les déchets wallons (suite et pas fin)

Nicolas De Decker
Nicolas De Decker Journaliste au Vif

Le feuilleton autour des détritus wallons connaîtra-t-il un jour un épilogue ? Après les scandales à l’Office wallon des déchets, le secteur est encore en pleine ébullition, notamment aux Unités de répression de la pollution (URP).

On se souvient que des scandales à l’Office wallon des déchets, assortis de tensions entre celui-ci et les Unités de répression de la pollution (URP) sous-régionales, avaient mené le ministre exerçant la tutelle directe sur l’Office, Carlo Di Antonio (CDH, photo) à prononcer sa dissolution. Le secteur continue toutefois à s’agiter. Et à souffrir, même, puisqu’une intervention psychosociale à caractère collectif a été demandée par plusieurs travailleurs de l’URP de Mons, et entamée, à la mi-août, par le Service de Prévention et de Médecine du Travail-Arista. « L’enquête, réalisée par le SPMT, est en cours et son rapport est attendu pour la fin de l’année. Rapport qui sera remis au Secrétariat Général et à la hiérarchie de la DG03. Celle-ci prendra à la lumière des conclusions les mesures qu’elle estime nécessaires », se borne-t-on à répondre de source administrative. Notre petit doigt nous dit que ces conclusions feront du bruit.

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