La transparence, mission laborieuse à Bruxelles
Dans la foulée du scandale Publifin, le gouvernement bruxellois avait promis de publier en ligne ses arrêtés et, éventuellement, ses ordres du jour. Pour satisfaire à une ordonnance de… 1995 sur la publicité de l’administration.
Au parlement, la N-VA s’impatiente : » Aucun ordre du jour n’a été publié jusqu’à présent. Et les décisions du conseil des ministres font toujours l’objet d’une communication sommaire. « » En l’absence de chancellerie (service administratif permanent), un ou deux collaborateurs de mon cabinet (5 directeurs de cabinet et adjoints, 43 membres du staff et 2 porte-parole) doivent assumer cette mission « , déplore le ministre-président Rudi Vervoort (PS, photo), qui se propose de créer un tel service, » gage réel de transparence, de stabilité et de mémoire administrative « . Une idée qui a jailli en marge du groupe de travail sur la (bonne ?) gouvernance.
M.L.
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