© Image Globe

La reine Mathilde à New York au nom des droits de l’enfant

Le Vif

La Belgique est l’un des pays à l’avant-garde du combat visant à faire adopter par les entreprises des normes en faveur de la protection des droits des enfants, a assuré mercredi soir la reine Mathilde, au premier jour d’une visite à New York axée sur ce thème.

« Je suis enchantée de voir que mon pays, la Belgique, est l’un des précurseurs (dans les efforts) pour mobiliser la communauté des affaires aux droits des enfants », a-t-elle affirmé lors d’un « événement » organisé à la veille de l’Assemblée générale de l’ONU par un réseau d’entreprises belges au siège new-yorkais du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef).

La reine, qui effectue son deuxième déplacement à l’étranger depuis l’accession au trône de son époux, le roi Philippe, le 21 juillet dernier, a salué le « rôle-clé » joué par le « Global Compact Network Belgium », la branche belge d’un réseau mondial rassemblant plus d’une centaine de pays et qui lutte pour faire adopter par les entreprises – publiques et privées – un ensemble de valeurs fondamentales, dans les domaines des droits de l’homme, des normes de travail et de l’environnement, et de lutte contre la corruption en faveur des enfants.

« Les droits des enfants sont l’affaire de tous. Cette préoccupation mondiale requiert une approche universelle et inclusive dans laquelle le monde des affaires doit clairement avoir sa part » de responsabilités, a affirmé la souveraine dans un discours prononcé en anglais en présence notamment de responsables du Pacte mondial (« UN Global Compact »), une initiative placée sous la présidence du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon.

Un sommet des dirigeants signataires de ce Pacte mondial doit se tenir jeudi et vendredi à New York, toujours en présence de la reine Mathilde.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire