© iStock

Faire réchauffer un biberon au restaurant peut vous coûter de l’argent

Les gérants d’établissements horeca peuvent faire payer un certain montant pour des services autres que ceux de la restauration, seulement dans le cas où le client est informé que cela lui sera facturé, même si la pratique est toutefois inhabituelle, a indiqué lundi l’organisation Horeca Vlaanderen.

Dimanche, une cliente a posté sur Twitter une image de l’addition qu’elle a reçue dans un restaurant de Louvain. Cinquante cents lui ont été facturés pour « électricité », après qu’elle a demandé à ce qu’on réchauffe un biberon pour son bébé de deux mois.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

« C’est possible, dans le cas où il est communiqué quelque part que le service sera chiffré ou si cela est expliqué verbalement au client », a indiqué Gerrit Budts, d’Horeca Vlaanderen. « Mais c’est loin d’être courant. Dans quasi tous les établissements horeca, ce genre de service est inclus dans le prix. »

Le paiement des toilettes est plus habituel, mais cela a pour objectif, selon Gerrit Budts, d’éviter que les gens qui ne consomment rien dans l’établissement utilisent tout de même ses installations. Le coût supplémentaire d’un passage aux toilettes est souvent clairement affiché.

Lorsqu’un client conteste une quelconque somme supplémentaire sur l’addition, Horeca Vlaanderen conseille d’en discuter avec le gérant de l’établissement.

Contenu partenaire