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Eddy Merckx, une marque en or

Rien ne semble affecter la popularité du Cannibale Eddy Merckx. Ni le temps qui passe, ni l’émergence de nouveaux champions cyclistes, ni sa récente inculpation dans une affaire de corruption.

Entreprises, politiques, médias, humanitaires… Tous veulent bénéficier, encore et toujours, de l’aura de l’ancienne gloire de la Petite Reine. Trente-quatre ans après avoir quitté les pelotons, Eddy Merckx, tel un talisman magique, fait s’ouvrir toutes les portes. Et suscite toutes les convoitises.

En janvier, des chaussures siglées Merckx sont apparues sur le marché. « La mode est au rétro », explique Dimitri Van Leuven, responsable du marché belge chez USG Brands, qui commercialise les chaussures. « On constate une nostalgie romantique pour les gloires sportives des années 1960 et 1970. La figure d’Eddy Merckx colle très bien à cette tendance. »

Le cinéma n’est pas en reste : deux films sont actuellement à l’affiche, l’un en français (Torpedo), l’autre en néerlandais (Allez Eddy), dans lesquels la figure du plus grand champion belge de tous les temps est omniprésente. Figure présente aussi à l’exposition Livre/louvre, à Paris, actuellement, conçue par Jean-Philippe Toussaint.

Et les nouveaux patrons de l’entreprise de cycles Eddy Merckx voient l’avenir en grand.

Dossier spécial dans Le Vif/L’Express de cette semaine

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